Sommaire
- Les hôtes du Jardin des Plantes
- Les oiseaux
- Le verdier d’Europe
- Le troglodyte mignon
- La sittelle torchepot
- Le rougegorge familier
- Le pouillot véloce
- Le pinson des arbres
- Le pigeon ramier
- La pie bavarde
- La mouette rieuse
- Le moineau domestique
- La mésange charbonnière
- La mésange bleue
- Le merle noir
- Le martin pêcheur
- Le goéland argenté
- Le gobemouche gris
- Le geai des chênes
- L’étourneau sansonnet
- L’épervier d’Europe
- La corneille noire
- La chouette hulotte
- Le choucas des tours
- Le canard colvert
- L’accenteur mouchet
- L’orvet fragile
- Les amphibiens
- L’yponomeute et le fusain
- Les oiseaux
À la fin du mois de février et au début du mois de mars, un chant très reconnaissable commence à résonner dans les arbres et les buissons.
Cette mélodie signe le retour d’un migrateur petit par la taille mais grand par les distances parcourues : le Pouillot véloce (Phylloscopus collybita Vieillot), qui rentre d’Afrique sub-saharienne.
Peu farouche, il n’est pas rare d’apercevoir ce parent des fauvettes au plumage brun-verdâtre sur la margelle d’un des bassins du Jardin, en train de se désaltérer. Son naturel remuant et son chant typique, rappelant à certains le son de pièces de monnaie tombant une à une, lui ont valu de nombreux surnoms : "Changeur de monnaie", "Compteur d’écus", ou encore "Inspecteur de feuilles" !
Sa fiche sur le site de l’Inventaire National du Patrimoine Naturel