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Affiche de l'exposition "Météorites - Entre Ciel et Terre"
Affiche de l'exposition "Météorites - Entre Ciel et Terre"
Exposition-événement

Météorites, entre ciel et terre

Cette exposition est terminée

Du 18 octobre 2017 au 6 janvier 2019

Avec une approche interactive et sensible, l'exposition propose un parcours immersif ponctué de grandes projections spectaculaires et dévoile plus de 350 météorites de la collection du Muséum, dans une ambiance poétique, artistique et contemporaine.

Horaires

Terminé

Ouvert tous les jours sauf les mardis

De 10 h à 18 h

Publics

Dès 7 ans

Accessible aux visiteurs à mobilité réduiteAccessible aux visiteurs déficients intellectuelsAccessible aux visiteurs sourds et malentendantsAccessible aux visiteurs aveugles et malvoyants

Accès

Grande Galerie de l’Évolution

36 rue Geoffroy Saint-Hilaire
75005 Paris

Tarifs

De 9 à 14 €

L'exposition

partie 1 : La chute

Chaque année, plus de 20 000 tonnes de matière météoritique entrent dans l’atmosphère terrestre. Il s’agit principalement de poussières interplanétaires, dont les plus grosses (environ 1 mm) sont à l’origine des étoiles filantes. On estime qu’il tombe seulement 5 tonnes par an de météorites dont la masse est supérieure à 1 kg, ce qui équivaut à environ 5 000 météorites.

Des chutes aux trouvailles
 

Un météoroïde qui arrive à plus de 20 kilomètres par seconde de l’espace est freiné par l’atmosphère terrestre.
Il s’échauffe, sa température de surface dépasse les 1 500°C et il va perdre plus de 90 % de sa masse par évaporation, générant une traînée lumineuse observable depuis le sol et appelée météore. Lorsque la vitesse du météoroïde diminue, le phénomène lumineux prend fin. En se refroidissant, une croûte de fusion de quelques millimètres se forme en surface. L’objet qui parvient au sol s’appelle alors une météorite.

 

Chutes françaises

Jusqu’à aujourd’hui, 77 météorites ont été recensées en France (64 "chutes observées" et 13 "trouvailles").

La météorite d’Ensisheim est la plus ancienne chute répertoriée en Europe et la seconde dans le monde. Appelée "pierre du tonnerre d’Ensisheim", la météorite atterrit le 7 novembre 1492 dans un champ de blé, à proximité de la ville d’Ensisheim. Considérée comme un signe divin, elle est exposée pendant près de 300 ans dans l’église paroissiale.

Gravure de Albrecht Dürer (1471-1528), peintre graveur de la Renaissance allemande © CC0
Gravure de Albrecht Dürer (1471-1528), peintre graveur de la Renaissance allemande © CC0
Météorite de Caille © MNHN - JC Domenech
Météorite de Caille © MNHN - JC Domenech

La météorite de Caille (ou La Caille) est la plus grosse météorite découverte en France, elle pèse 625 kg. Elle aurait été découverte au XVIIe siècle, à quelques kilomètres du village de Caille. Elle n’est identifiée qu’au début du XIXe siècle alors qu’elle sert de banc devant l’église du village ! Elle est depuis 1829 conservée au Muséum national d’Histoire naturelle.

La dernière chute observée en France, dans l’Essonne, date du 13 juillet 2011 : c’est la météorite de Draveil, dont un morceau est tombé sur le toit de… Madame Comette ! Cette météorite est la 64e chute française, la précédente était tombée dans la Drôme en 2002.

Vous pensez avoir trouvé une météorite ? Découvrez comment identifier une météorite et, si nécessaire, soumettez votre pierre à l'expertise du Muséum national d'Histoire naturelle.

Des mythes à la réalité
 

Pendant longtemps les météorites ont été considérées comme des manifestations divines, des pierres magiques, faisant parfois l’objet de cultes. Jusqu’au XVIIIe siècle, les savants peinent à identifier l’origine extraterrestre de ces pierres souvent appelées "pierres de foudre" ou "de tonnerre".

Il faut attendre le début du XIXe siècle pour que la communauté scientifique reconnaisse qu’elles viennent de l’espace.

Impacts et cratères
 

La plupart des météorites sont de taille modeste et font peu de dégâts. En revanche, les bolides dont le diamètre dépasse 100 mètres arrivent au sol sans être freinés et provoquent l’apparition d’un cratère d’impact, qui se forme en quelques secondes…

Le diamètre du cratère est en général 20 fois plus grand que celui du bolide qui l’a créé ! La roche terrestre est vaporisée en surface, éjectée et fracturée en profondeur. Des brèches d’impact se forment à partir des débris des roches broyées et fondues. La météorite, elle, est vaporisée suite à l’énergie dégagée par l’impact. On dénombre à l’heure actuelle plus de 190 cratères d’impacts sur Terre.

Le cratère des Pingualuit est un cratère d'impact dans le territoire du Nunavik, Québec, Canada. Le bassin qu'il renferme se nomme lac Pingualuk. © NASA. Courtesy of Denis Sarrazin
Le cratère des Pingualuit est un cratère d'impact dans le territoire du Nunavik, Québec, Canada. Le bassin qu'il renferme se nomme lac Pingualuk. © NASA. Courtesy of Denis Sarrazin

Partie 2 : Des pierres extraterrestres

Pour mieux comprendre les différents types de météorites et d’où elles viennent, il faut remonter le temps au début du système solaire.

D’où viennent les météorites ?
 

Pour mieux comprendre les différents types de météorites et d’où elles viennent, il faut remonter le temps au début du système solaire. Il y a 4,56 milliards d’années, dans notre Galaxie, une partie d’un nuage de gaz et de poussières s'effondre et se contracte, formant le protosoleil entouré d’un disque de poussière et de gaz. Dans ce système en rotation les premiers solides se forment : la poussière fond puis cristallise sous forme de billes – les chondres. Des turbulences agglomèrent ces solides aux poussières primordiales pour constituer des astéroïdes qui par collisions successives donneront des embryons planétaires puis des planètes. Les météorites proviennent de corps, les astéroïdes, qui ont survécu à ces processus complexes.

Astéroïde Eros. Plus grande dimension 33 km. © NASA/JPL/JHUAPL
Astéroïde Eros. Plus grande dimension 33 km © NASA/JPL/JHUAPL

Les différents types de météorites
 

Toutes les classes de météorites trouvent leurs amateurs, toutes sont des roches uniques. Les chondrites sont les roches les plus anciennes du système solaire, les achondrites lunaires et martiennes font rêver les amateurs d’exploration spatiale, quant aux météorites de fer et les pallasites, elles sont parmi les plus spectaculaires. Plus de 80 météorites sont présentées dans la deuxième partie de l’exposition afin de montrer toute leur diversité.

Chondre dans la météorite de Sainte Rose (x50) © MNHN
Chondre dans la météorite de Sainte Rose (x50) © MNHN

Diversité extraterrestre
 

La plupart des météorites sont des fragments de petits astéroïdes qui ne se sont pas différenciés, on les nomme météorites indifférenciées ou chondrites. Celles qui ont subi le moins d’altérations contiennent encore les premiers solides du système solaire que sont les chondres. Certaines, très rares, proviennent de comètes. Le reste, quelques pourcents, sont les météorites différenciées. Elles proviennent de corps qui se sont différenciés comme les gros astéroïdes (par ex. Vesta), les planètes telluriques (Mars) ou leurs satellites (la Lune).

Un long voyage

Dans l’espace, les astéroïdes se percutent mais viennent aussi heurter les planètes et leurs satellites, comme la Lune. Ces collisions produisent des fragments de toutes tailles. Dans certaines conditions, ils quittent l’attraction du corps céleste d’origine. Les météoroïdes ainsi éjectés commencent un voyage de plusieurs millions d’années dans l’espace et peuvent à leur tour percuter un autre corps céleste, comme la Terre où ils finiront leur voyage… en météorites.

Partie 3 : Archives du passé

Presque toutes les météorites sont plus anciennes que n’importe quelle roche terrestre. Chacune d’entre elles est un témoin d’une étape particulière de la formation de notre système solaire et portent des informations qu’on ne retrouve dans aucune roche terrestre

Que nous apprennent les météorites ?

L’étude au laboratoire des météorites est complémentaire des missions d’exploration spatiale et des observations astronomiques. À partir de leur analyse, il est possible de retracer les débuts du système solaire, il y a 4,56 milliards d’années, mais aussi le processus de formation des planètes, la formation de la Lune et l’histoire de la Terre, ou encore de partir à la recherche d’eau sur Mars…

Assemblage de 102 images de Mars prises en orbite 1,334, 22 février 1980 (Viking 1 Orbiter, MG07S078-334SP) © NASA
Assemblage de 102 images de Mars prises en orbite 1,334, 22 février 1980 (Viking 1 Orbiter, MG07S078-334SP) © NASA
Grain présolaire dans la météorite de Murchison © Larry R Nittler
Grain présolaire dans la météorite de Murchison © Larry R Nittler

Les chondrites et les débuts du système solaire

Les scientifiques ont découvert dans certaines chondrites de rares grains microscopiques formés avant le soleil lui-même, les grains présolaires. Ces poussières d’étoiles, qui nous sont parvenues intactes, nous renseignent en particulier sur le fonctionnement des étoiles. Il s’agit de la poussière primordiale à partir de laquelle le système solaire s’est formé.

 

Repères temporels

  • Big bang (formation de l’univers) : 13,8 milliards d’années
  • Formation du système solaire : 4,567 milliards d’années 
  • Fossiles les plus anciens : 3,5 milliards d’années
  • Explosion cambrienne (diversification de la vie) : 540 millions d’années
  • Crise Crétacé-Tertiaire (disparition des dinosaures non aviens, des ammonites…) : 66 millions d’années
  • Apparition des homininés (hommes bipèdes) : 7 millions d’années

Les astéroïdes différenciés : au cœur de la formation planétaire

Les météorites de fer témoignent des gigantesques collisions qui ont mis à nu les noyaux de fer des astéroïdes différenciés dont elles sont issues. Elles permettent aussi de préciser les conditions de la formation des cœurs métalliques des gros astéroïdes et des planètes. C’est une façon indirecte d’étudier le noyau de la Terre, une structure qui nous est totalement inaccessible aujourd’hui.

Planètes

Mars est la première planète à se former dans le système solaire, en moins de 10 millions d’années. La Terre et Vénus auraient eu besoin, quant à elles, de cent millions d’années supplémentaires et d’un grand nombre de collisions successives entre embryons planétaires et astéroïdes pour achever leur croissance. L’étude des météorites permet de comprendre les grandes phases de la formation planétaire et de l’évolution géologique de ces corps célestes, notamment de la Lune et de la Terre.

Météorite du Mount Edith. Météorite de fer trouvée en 1913 en Australie. © MNHN - JC Domenech
Météorite du Mount Edith. Météorite de fer trouvée en 1913 en Australie. © MNHN - JC Domenech

Recherche dans les déserts

Les scientifiques sont toujours à la recherche de nouvelles météorites parce que des spécimens inédits sont la promesse de nouvelles découvertes. Or, bien que les météorites tombent en tous points du globe, l’essentiel des chutes passe inaperçu. Les déserts sont les lieux idéaux pour leur recherche : il y est plus facile de les repérer car elles ne sont pas cachées par la végétation et surtout parce qu’elles s’accumulent dans le temps dans ces zones souvent climatiquement stables pendant des centaines de milliers d’années. Des expéditions scientifiques sont ainsi organisées de façon systématique dans les déserts chauds et froids.

Parcours d'art

L’exposition propose aussi de découvrir un choix d’œuvres d’art consacrées aux météorites. Tout au long du parcours, vous découvrirez dix pièces réalisées par huit artistes.

Les artistes offrent un autre regard sur les météorites. Ils invitent à la rêverie et proposent une pause méditative. Diverses et singulières, les peintures, les photographies et les sculptures exposées interrogent le vertige suscité par ces pierres venues d’ailleurs. Elles en renouvèlent le mystère.

Artistes exposés

  • Evariste Richer
  • Laurent Grasso
  • Alexandra Roussopoulos
  • Judith Espinas
  • Martin Mc Nulty
  • Pratchaya Phinthong
  • Simon Boudvin
  • Vera Pagava

Vos avis

Avis Civiliz

Partenaires et crédits

Mécène

Le Muséum remercie chaleureusement son mécène.

La Fondation d'entreprise SCOR pour la science a apporté son soutien au colloque international organisé par le Muséum national d'Histoire naturelle les 6, 7 et 8 juin 2018 à l'occasion de l'exposition Météorites, entre ciel et terre.

Logo Fondation Score

Partenaires média

Le Muséum remercie chaleureusement les partenaires de l’exposition Météorites, entre ciel et terre.

Logo France 5
Logo 20 minutes
Logo ADP
Logo Trois Couleurs
Logo A Nous Paris
Logo Ca m'intéresse
Logo Fnac
Logo National Geographic
Logo Figaro Magazine
Logo France Info

Générique de l'exposition

Météorites, entre ciel et terre, Une exposition conçue et réalisée par le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN)

DIRECTION

Bruno DAVID, Président
Pierre DUBREUIL, Directeur général délégué aux Ressources
Éric JOLY, Directeur général délégué aux Musées et aux Jardins botaniques et zoologiques
Cyril ROGUET, Adjoint au Directeur général délégué aux Musées et aux Jardins botaniques et zoologiques, en charge du Grand site du Jardin des Plantes

COMMISSARIAT

Commissaire d'exposition :
Matthieu GOUNELLE (MNHN)

Comité scientifique :
Marc CHAUSSIDON (CNRS, Institut de Physique du Globe de Paris)
Emmanuel JACQUET (MNHN)
Jérôme GATTACCECA (CNRS, CEREGE)
Alessandro MORBIDELLI (CNRS, Observatoire de Nice)
Thierry MONTMERLE (Institut d'Astrophysique de Paris)
Georges MEYNET (Université de Genève)
Sara RUSSELL (Natural History Museum, London)

Conseil scientifique :
Pierre ROCHETTE (CEREGE)
Jean DUPRAT (CNRS, CSNSM)
Albert JAMBON (UPMC, ISTeP)
Patrick DE WEVER (MNHN)

CONCEPTION

Maîtrise d’Ouvrage :
Responsable des expositions : Sacha MITROFANOFF (MNHN)
Chef de projet : Sophie GRISOLIA (MNHN)
Synopsis : Aurore SOARÈS
Conception dispositifs multimédias : Isabelle LEGENS (MNHN) assistée de Gaëlle KATCHOURINE
Conception et production audiovisuelle : Evantias CHAUDAT (MNHN)
Iconographie : Ingrid VERLEYE (MNHN)
Coordination : Térésa RIBEYRON, Catherine SALTIEL (MNHN)
Textes : Émilie MARTIN, Matthieu GOUNELLE (MNHN)
Traductions : Letitia FARRIS-TOUSSAINT
Gestion administrative et financière : Hélène MONERON, Farida SELMET (MNHN)

MAÎTRISE D'ŒUVRE

Muséographie :
Suzie MACCARIO assistée de Julie RUELLE (ÂME EN SCIENCE)

Scénographie :
Henri JOAQUIM (LA FABRIQUE CRÉATIVE) assisté de Pauline BERNARD
Aurélie THUILLEAUX
Annabelle BOUILLAUD
Mathilde CAMOIN et Mathilde DAGUZAN

Conception lumière :
François JULIEN (LA FABRIQUE CRÉATIVE)

Graphisme, illustrations et signalétique :
Régis LINDEPERG, Isabelle ABIVEN (LA FABRIQUE CRÉATIVE) assistés de Camille LINDEPERG, Laura BERTRAND et Pierre FAVE

Conception dispositifs spéciaux :
Paul VIALA (LA FABRIQUE CRÉATIVE)
Patrick SIMONNET (NOKINOMO)

Ingénierie audiovisuelle et multimédia :
Richard CAILLEUX (RC AUDIOVISUEL)

RÉALISATION

Aménagement général :
DÉCORAMA

Fabrication graphique :
TRAPHOT

Équipements lumière :
NOVELTY

Équipements audiovisuels et multimédias :
ETC audiovisuel

Réalisation des dispositifs multimédias :
ALPHA STUDIO
OPIXIDO

Dispositifs électromécaniques :
TRYAME

Film du vaisseau :
Guillaume LENEL
Gilles SORNETTE
.signature
Atelier vidéographique de France Télévisions

Théâtre optique :
LES CHEVREAUX SUPRÉMATISTES

Ambiances sonores de fin :
Pierre-Axel IZERABLE (THE CONCRETE FAMILY)

Enregistrement des voix :
STUDIO SCOPITONE

Braille :
LAVILLE IMPRESSIONS

Poèmes micrométéorites :
Evantias CHAUDAT
Matthieu GOUNELLE (MNHN)

Régie muséographique :
Marie WACRENIER
Aude PINGUILLY
Antoine de CANAGA
Isabelle DURAND
Boris ANDRÉ
Éric BUIDINE
Christian MARTIN
Christophe MOISSON
Frédéric ROCARD
Fabrice ROTURIER
Xavier SCHWEIZER
Hakim SI ABDALLAH (MNHN)

Soclage :
AÏNU

Transport des collections :
TRANSEXPO

Assurances :
GRAS-SAVOYE

Alarmes :
Michel GARMIER (MNHN)
TIFALI Sécurité
AIM Électronique
AXIS

Régie des collections :
Bruno CAZE
Catherine SALTIEL (MNHN)
Camille BROUILLET

Préparation des météorites :
Jean-Jacques PANTEL
Béatrice DOISNEAU
Cécile COURNÈDE
Chloé BRILLATZ
Maximilien VERDIER (MNHN)

Le Muséum remercie particulièrement Melvil POUPAUD, Anna MOUGLALIS, Bruno BLAIRET et Emmanuelle BOUGEROL pour leur participation amicale et leur voix.

Application MeteorQuest :
Marco MAIONE (SABIR DESIGN STUDIO)
N3RD
Camille Boyer
Laure Longueville (ENSAD)

GRAND SITE DU JARDIN DES PLANTES

Médiation et action culturelle :
Fabienne STOSIC
Yannick BOTHUAN
Mélanie PEREZ
Anne-Lise DELACÔTE-HEITZ
Laurence LIPPI
Benoît HICKÉ

Accessibilité :
Catherine COULON-CHEVALIER

Accueil des publics et billetterie :
Sophie-Ève VALENTIN-JOLY
Sandrine BROUSSAUD et leurs équipes
Gilles CARBONE
Ouardi NEBCHI

Boutique :
Hafida REBBANI et ses équipes
Tiphaine BRENAUT
Laetitia PAQUEROT
Nourredine HAÏD

DIRECTION DES COLLECTIONS

Préparation des collections :
Christophe GOTTINI
Jérémy KAZAN
Corinne BEAUCHOT
Jacques CUISIN

Direction des bibliothèques et de la documentation :
Gildas ILLIEN
Alice LEMAIRE
Joëlle GARCIA
Véronique VAN DE PONSEELE
Christine BASTARD

DIRECTION DES PUBLICS

Programmation et itinérance :
Agnès PARENT
Lucile LIGNON
Delphine NAHON
Elsa GUERRY
Térésa RIBEYRON

Éditions :
Lucile DESMOULINS
Christophe RIVIER

Site Web :
Stéphanie TARGUI
Estelle MERCERON
Nicolas CELLIER
Lou VIGER

Prises de vue :
Jean-Christophe DOMENECH

Bande-annonce :
Frédéric DUBOS (MNHN)
Hugues NAMUR

DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT

Mécénat et partenariats :
Sylvie APOLLIN
Benjamine CULIOLI
Sophie BARON

Études des publics :
Frédérique LAFON

DIRECTION DE LA COMMUNICATION

Communication :
Fanny DECOBERT
Claire GONÇALVES
Alice NEESER
Emmanuel PICHON
Anne VILLOUTREIX
Amélie BAUDOIN

Affiche :
Rachel BRACCO

Relations de presse :
Flore GOLDHABER
Samya RAMDANE
Jessica THIAUDIÈRE assistées de Constance PÉRUCHOT
Agence BUZZ DISTRICT

DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES ET DE LA COMMANDE PUBLIQUE

Hervé COURTIL
Marie-Dominique de GOUVION SAINT-CYR
Myriam PÉRIGAUD
Thierry LEJEUNE
Carole PÉROUX
Jérôme COLIN
Sabrina SEKOUM

DIRECTION DE LA LOGISTIQUE ET DE LA SÉCURITÉ

Philippe MERITTE
Marc RUIZ
Stéphan FOUCAULT
Jérôme SALOMON

DIRECTION DE LA RÉNOVATION ET DE LA MAINTENANCE

Gaëlle BELLAMY
Jean-François AMOROS
Thierry LE BEC
Florent MBAYE
Éric HEULIN
Jules VERO
Alain HALBY
Vincent CASTELLA
Rachid BIZOUNKAD

DIRECTION DES SYSTÈMES INFORMATIQUES

Stuart McLELLAN
Pascal HEULIN
Kevin BASLÉ

LE MUSÉUM REMERCIE POUR LE PRÊT DE LEURS COLLECTIONS

Natural History Museum, Londres, Royaume-Uni
Natural History Museum of Denmark
Natural History Museum
The University of Alabama, USA
Smithsonian - National Museum of Natural History, USA
NASA, USA
Association culturelle Vera Pagava (AC/VP)
Centre Européen de Recherche et d'Enseignement des Géosciences de l'Environnement (CEREGE)
Centre national des arts plastiques (CNAP)
Centre de Sciences Nucléaires et de Sciences de la Matière (CSNSM-CNRS-Université Paris Sud)
Musée de Minéralogie MINES ParisTech
FRAC Basse-Normandie
Musée du Quai Branly - Jacques Chirac

Siegfried BEUTEL
Alain CARION
Vincent HABERER
Luc LABENNE
Darryl PITT
Stefan RALEW
Benoît de ROQUEFEUIL
Joëlle de SOULTRAIT
Philippe THOMAS
Michael ZOLENSKY

Le Muséum remercie particulièrement l’Observatoire de l’Astroblème de Charlevoix, Québec, Canada, pour le don du cône de percussion de Charlevoix.

LE MUSÉUM REMERCIE LES ARTISTES

Simon BOUDVIN
Judith ESPINAS
Laurent GRASSO
Martin Mc NULTY
Pratchaya PHINTHONG
Alexandra ROUSSOPOULOS
Évariste RICHER

LE MUSÉUM REMERCIE CHALEUREUSEMENT LES PERSONNES SUIVANTES

Tracy Heath, Noemi Moran, Natasha Almeida et Caroline Smith (NHM)
Peter Kjærgaard et Martin Bizzarro (UCPH)
Mary Beth Prondzinski et John Abbott (ALMNH)
Tim McCoy et Julie Hoskin (Smithsonian)
Elisso Tarassachvili (AC/VP)
Jérôme Gattacceca (CEREGE)
Yves Robert, Solène Delanoue, Laetitia Dalet et Pauline Choulet (CNAP)
Cécile Engrand et Jean Duprat (CNRS)
Vincent Laflèche, Eloïse Gaillou et Didier Nectoux (MINES ParisTech)
Caroline Caillet (FRAC Basse-Normandie)
Stéphane Martin, Christophe Moulherat, Laurence Dubaut, Valérie Eyéné (Musée du Quai Branly - Jacques Chirac) Jean-Michel Gastonguay (Observatoire de l’Astroblème de Charlevoix), Hubert Reeves et Annette Viel. Hélène Lassalle, François Virgili, Marine Garcia, Philippe Golab, Didier Julien-Laferrière, Leonardo Baeza, Millarca Valenzuela
Philippe Labrot (IPGP)
Louis Carion
Cristiano Ferraris (MNHN)
Étienne Bourgeois. Gloria Sensi, Carlotta Battistini et Clara Ustinov (Galerie Perrotin)
Eduardo Basualdo, Lola Rojo Dolores, Sean Richards, Sabine Schmidt
Vanessa Veuillet (Galerie Karsten-Grève)
Choghakate Nazarian (Musée d’Art moderne de la Ville de Paris)
Vincent Rondot et Caroline Biro (Musée du Louvre)
Étienne Sallon (Christie’s)

CRÉDITS PHOTOS

Le Muséum remercie pour leurs photos :
Wilton Carvalho
Cécile Engrand et Jean Duprat (IPEV-CNRS)
Gerald Rhemann
Frédéric Michaud
Ludovic Ferrière (Naturhistorisches Museum Wien)
Le Musée d'histoire naturelle de Berne
Franck Karg
Jacques Bochaton
Quentin Louis et Armine Atoyan
La Ville d'Ensisheim
Philipp Heck (Field Museum)
Fabien Kuntz
Sachiko Amari
Larry R. Nittler
La JAXA
La NASA

© York County History Center
© Gregory H. Revera / CC BY-SA 3.0
© Francescodib / CC BY-SA 3.0 NASA/GSFC/Arizona State University
NASA/JPL/JHUAPL
NASA/JPL-Caltech/MSSS NASA, ESA, M. Robberto (Space Telescope Science Institute/ESA) and the Hubble Space Telescope Orion Treasury Project Team
NASA, ESA, and the Hubble SM4 ERO Team