La promiscuité qu’on trouve dans les marchés d’animaux sauvages n’est absolument pas comparable à la situation dans les zoos, où les animaux disposent de grands espaces et où les mesures d’hygiène sont très élevées.
De plus, les animaux des parcs zoologiques n’ont que très peu de contacts avec l’Homme, et ne rentrent pas dans la chaîne de consommation alimentaire.
Aucune des espèces animales les plus associées à ce nouveau profil zoonotique 2 (pangolin malais, chauves-souris insectivores du Sud-Est asiatique...) n’est conservée dans les zoos européens, ce qui diminue d’autant le risque d’une circulation hypothétique du virus.
Enfin, les animaux de parcs zoologiques sont sous étroite et permanente surveillance vétérinaire.